3D Trade Center

Avocat spécialisé en droit fiscal français, fiscalité internationale,

droit des sociétés et des affaires, droit pénal des affaires, procédures de sauvegarde, de redressement, de liquidation judiciaires de l’entreprise, successions et libéralités, et procédures devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Le cabinet de Maître Ismaïl Benaïssi, Avocat fiscaliste, exerce son activité à travers plusieurs types de prestations juridiques et fiscales :

• la consultation
• le conseil
• la transaction
• l’assistance
• la représentation devant les juridictions judiciaires et administratives.

Le cabinet situé à 150 mètres de la Place de l'Etoile à Paris dans le 17ème arrondissement répond à toutes les questions juridiques et fiscales, avec la connaissance approfondie de ses domaines d’interventions et dans le cadre d’une transparence totale vis-à-vis du client.

Contact :

6, Avenue Mac Mahon
75017 Paris
France

Tél : +33 (0)1 47 64 97 80
Tél : +33 (0)1 45 72 64 19
Fax : +33 (0)1 47 64 97 84

source : www.avocat-fiscaliste-75017.com

The Pentagon’s 1.8 Gigapixel Drone to be used for Domestic Surveillance?

DARPA and the US Army have taken the wraps off ARGUS-IS, a 1.8-gigapixel video surveillance platform that can resolve details as small as six inches from an altitude of 20,000 feet (6km).

ARGUS is by far the highest-resolution surveillance platform in the world, and probably the highest-resolution camera in the world, period.
ARGUS, which would be attached to some kind of unmanned UAV (such as the Predator) and flown at an altitude of around 20,000 feet, can observe an area of 25 square kilometers (10sqmi) at any one time.

If ARGUS was hovering over New York City, it could observe half of Manhattan.

Two ARGUS-equipped drones, and the US could keep an eye on the entirety of Manhattan, 24/7.

It is the definition of “observe” in this case that will blow your mind, though. With an imaging unit that totals 1.8 billion pixels, ARGUS captures video (12 fps) that is detailed enough to pick out birds flying through the sky, or a lost toddler wandering around. These 1.8 gigapixels are provided via 368 smaller sensors, which DARPA/BAE says are just 5-megapixel smartphone camera sensors. These 368 sensors are focused on the ground via four image-stabilized telescopic lenses.

The end result, as you can see in the (awesome) video above, is a mosaic that can be arbitrarily zoomed. In the video, a BAE engineer zooms in from 17,500 feet to show a man standing in a parking lot doing some exercises. A white speck is a bird flying around. You can’t quite make out facial features or license plates (phew), but I wonder if that would be possible if ARGUS was used at a lower altitude (during a riot, say).

ARGUS’s insane resolution is only half of the story, though. It isn’t all that hard to strap a bunch of sensors together, after all. The hard bit, according to the Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL), is the processing of all that image data. 1.8 billion pixels, at 12 fps, generates on the order of 600 gigabits per second. This equates to around 6 petabytes — or 6,000 terabytes — of video data per day. From what we can gather, some of the processing is done within ARGUS (or the drone that carries it), but most of the processing is done on the ground, in near-real-time, using a beefy supercomputer. We’re not entirely sure how such massive amounts of data are transmitted wirelessly, unless DARPA is waiting for its 100Gbps wireless tech to come to fruition.

The software, called Persistics after the concept of persistent ISR — intelligence, surveillance, and reconnaissance — is tasked with identifying objects on the ground, and then tracking them indefinitely. As you can see in the video, Persistics draws a colored box around humans, cars, and other objects of interest. These objects are then tracked by the software — and as you can imagine, tracking thousands of moving objects across a 10-square-mile zone is a fairly intensive task. The end user can view up to 65 tracking windows at one time.
According to the video, which is from the PBS Nova TV show, the ARGUS system in its entirety produces one million terabytes per day — all of which is stored by the Army for future use. We’re a bit skeptical about PBS’s crazy figure (a million terabytes is an exabyte), but in theory most of that data is actually meta data — the coordinates and other identifying features of the thousands (millions?) of objects being tracked by ARGUS.

Boeing A160 Hummingbird helicopter, with ARGUS-IS attached below. The original goal was to deploy ARGUS in Afghanistan, but that never came to pass. It isn’t entirely clear what ARGUS’s future is; it was meant to be mounted on Boeing’s high-altitude A160 Hummingbird helicopter (pictured right), but the chopper has since been scrapped. If ARGUS is to be deployed, it will most likely be strapped to the underbelly of a Predator drone. Where it will be used, however, with the war in Afghanistan apparently winding down, is another question entirely. Its efficacy in a military setting would be unsurpassed, but it’s easy to imagine how ARGUS could be used here at home in the US, too.

TERRORISME - Il était apparu dans une vidéo d'Aqpa qui menaçait la France...

Al-Qaida au Yémen a annoncé la mort de l'un de ses chefs, Hareth al-Nadhari, et de trois autres membres du réseau extrémiste, dans une attaque de drone américain le 31 janvier dans le sud du Yémen, dans un communiqué mis en ligne jeudi.

«Le Yémen a fait le sacrifice d'un groupe de bons musulmans dans une attaque de drone américano-croisé contre leur voiture à As-Saïd dans la province de Chabwa», écrit Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), en identifiant les quatre morts, dont Hareth al-Nadhari, présenté comme l'un des responsables de sa commission de jurisprudence.

Une autorité en matière de charia

Le 31 janvier, des sources tribales ont indiqué que quatre membres d'Al-Qaida avaient été tués dans une attaque de drone, la deuxième du genre en une semaine, après l'annonce par les Etats-Unis de leur détermination à lutter contre ce réseau malgré le chaos politique au Yémen.

Le drone a pris pour cible un véhicule à bord duquel circulaient les quatre membres d'Aqpa dans le village d'As-Saïd. Les corps des passagers ont été carbonisés.

Hareth al-Nadhari, une autorité en matière de charia, la loi islamique, au sein d'Aqpa est apparu dans une vidéo diffusée le 10 janvier pour menacer la France de nouvelles attaques, après celle contre le journal satirique Charlie Hebdo, commise trois jours plus tôt.

Le dignitaire n'avait toutefois pas revendiqué au nom de l'organisation l'attaque contre Charlie Hebdo, ce que fera quatre jours plus tard un autre chef d'Aqpa, Nasser Ben Ali al-Anassi.

source : https://fr.news.yahoo.com/chef-dal-qaida-au-y%C3%A9men-tu%C3%A9-drone-am%C3%A9ricain-115445753.html

(3D) TRADE CENTER NY : 11-Septembre - Un document de 28 pages évoque un financement de l'Arabie Saoudite

Éléments, discussion et récit concernant certains sujets sensibles de sécurité nationale. Le document ferait trembler Washington. Long de 28 pages, il pointerait les responsabilités, directes ou indirectes, de l'Arabie Saoudite dans les attentats du World Trade Center, ce tristement célèbre 11 septembre 2011. Il mettrait également en cause le consulat saoudien à Los Angeles, l'ambassade du pays à Washington, ainsi que de riches Saoudiens installés à Sarasota, en Floride.

Ces 28 pages faisaient partie du rapport sur le 11-Septembre du Comité du renseignement du Sénat, publié en 2002. Avant qu'elles ne soient supprimées et classifiées à la demande de l’administration Bush. Et, selon Le Figaro, elles se trouveraient, aujourd'hui, dans une pièce sécurisée de la Chambre des Représentants... mais pourraient refaire surface.

Déclassification exigée

Car Bob Graham, ancien vice-président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats, exige à nouveau leur publication, affirmant même que le gouvernement saoudien a participé directement dans le financement du 11 septembre 2001, et que certains des kamikazes ont reçu de l’argent de ce gouvernement.

Interview Hervé Heully fondateur et Président de New3S

Q. OOkawa : Vous livrez ce jour avec un produit nouveau, un avocat sur la Place de Paris, Maître Ismaïl BENAISSI, spécialisé en fiscalité française et internationale. De quoi s'agit-il ?

Réponse : Nous en avons en effet le grand plaisir d'annoncer cette nouveauté. Un site WEB d'un genre innovant qui pointe sur un site traditionnel existant depuis quelques semestres, et qui fonctionne en totale autonomie. Accessible sur Smartphone, Tablette et Desktop.

Au-delà des performances technologiques, je crois que la plus grande nouveauté est d'équiper ainsi un avocat averti en matière d'économie de l'immatériel qui n'en est pas à sa première tentative de présence sur Internet. Ce que recherche notre client, Maître BENAISSI, est un acte de visibilité sur les moteurs de recherche, qui soit pédagogique auprès de sa clientèle internationale, qui rassemble en un CLIC depuis Google tous les éléments constitutifs de la démonstration de sa capacité d'écoute, son savoir-faire, ses qualités professionnelles ... jusqu'à permettre de venir facilement à son Cabinet situé à peine à quelques mètres de la Place de l'Etoile et des Champs Elysées. Une sorte de condensé, de carte de visite digitale connectée au monde Internet.

Q. OOkawa : Vous semblez avoir un moral de fer ?

Réponse : Je ne suis pas normand, pourtant j'ai envie de répondre Non et Oui. Non parce que comme tout le monde, j'ai des doutes, des incertitudes. je vis des moments d'observation donc d'inaction. Oui car en général j'ai l'énergie et l'auto-discipline qui permettent "d'avoir le moral" comme vous dites. On ne parlera pas de la santé, ... qui influence le moral.

Q. OOkawa : Avec ces B'360 encore une nouveauté au palmarès de New3S ?

Réponse : Nouveauté ? D'une certaine manière. Observer et agir sont les règles fondamentales pour progresser. New3S née en 2002 dans nos esprits puis juridiquement en début 2003, n'a cessé de retranscrire cet état d'esprit : "Observer puis Agir".

Projetons-nous un court instant en 2002. Le e-commerce est quasi inconnu de tous les français. La notion de panier et de banque en ligne est boudée par les français. D'ailleurs des structures comme e-Rotschild devront stopper net leur activité. Pour la petite histoire e-Rotschild verra peu de temps après son portefeuille client réintégrer la banque Rotschild.

A cette époque toujours, en qualité de TPE ou de PME envoyer une facture par Internet en pièce attachée d'un e-mail est considéré comme illégal (Vive le Lobbying de la Poste; ce qui n'est pas sans rappeler le Lobbying de France Telecom dans les années 1990 ... qui prétendait que les appareils PANASONIC vendus sur le sol français ne pouvaient fonctionner sur une prise TELECOM en France car il n'y avait pas le "agréé PTT"). Alors, durant de longues années il nous a fallu imprimer nos factures pour les adresser à nos clients avec une enveloppe chacune dotée d'un timbre. Et ainsi doubler nos processus, rogner un peu plus sur nos marges pour satisfaire la peur (du risque), la frilosité et d'autres névroses bien françaises.

Q. OOkawa : Vous n'avez pas encore vraiment répondu à la question.

Réponse : J'y viens.

Q. OOkawa : Pourquoi parlez-vous de peur du risque ?

Réponse : Je veux parler de la peur de prendre un risque. Celui d'avoir une facture qui serait illégale. Confondant volontiers l'objet ou le résultat d'avec le processus. La facture d'abord immatérielle donc digitale, de celle rematérialisée puisque imprimée.

A signaler que lorsque je travaillais en 1998 avec DASSAULT SYSTEMES pour le compte de IBM, j'avais des collègues américains IBMers qui achetaient déjà leur bouteille de lait le matin depuis chez eux en payant par CB sur Internet ... puis qui osaient le jour d'après payer par CB à nouveau sur Internet depuis l'Asie où nous étions juste arrivés, pour cette fois se faire livrer leur voiture à leur domicile aux USA en plein milieu de la Floride !

Bref en France on a toujours été en retard ... quelque part. Coincés dans nos "que dira-t-on". "Et si...". La peur du législateur, ... et pourtant nous sommes à en écouter la presse parmi les pays les plus fins en matière de contournement des lois.

Ce qui se vérifie d'ailleurs dans les compétences qu'ont les français à inventer juste et bien. Leur talent est outrageusement recherché dans le monde entier. Ne dit-on pas qu'1 seul brevet français vaut bien 100 brevets chinois (à moins que ce ne soit plus encore) !

Regardez pour autre exemple le CES de Las VEGAS de cette année 2015. A lire et écouter les médias, on a l'impression que le CES existe depuis ... cette année. Or justement c'était l'anniversaire du Quart de siècle ! L'impression qui est ressortie en ce début d'année 2015 c'est que si en tant qu'entreprise on n'en faisait pas partie, on n'était pas "IN" ! Pourtant en 2007, Gary SHAPIRO Président du CES s'était déjà déplacé en personne pour expliquer aux entrepreneurs français de la DIGITAL economy qu'il fallait aller ... jusque là-bas pour exister aussi là-bas. A l'inverse (comme quoi les états d'esprit diffèrent d'un continent à l'autre) à cette époque là, personne en France ne parlait du CES; en outre il fallait d'abord faire ses preuves là-bas, traduisez aux USA, avant d'être légitimement (re)connu en France. Internet a bien fait évoluer les choses, tout au moins sur la perception.

Dans ces conditions avoir le moral, oui ! J'affirme il faut l'avoir.

"Comment ça se traduit" serait plutôt la bonne question. Eh bien, vient un jour où à force d'innover, d'inventer, de créer, de livrer, d'améliorer, ... on peut naturellement assembler et innover dans le macroscopique. Qu'entendons-nous parler par ces mots ?

Innover est quasiment toujours associé à l'acte de "penser spécialisation". Par exemple, détenir un brevet sur un assemblage de techniques nouvelles est plus rare que sur un épiphénomène ou un sujet hyper pointu.

Revenons à votre question. La B'360 c'est un assemblage de techniques dont l'association ainsi que le procédé relèvent du savoir-faire. Pris un à un, chacun ou presque des outils qui composent B'360 existent depuis quelques mois à quelques années. Le tout, assemblé et délivré dans le délai qu'est celui indiqué sur nos Bons de Commande représente à coup sûr une innovation de taille.

Quelques faits :

Hormis le déplacement pour nous rendre sur les lieux, la prise de la photo se fait en quelques poignées de minutes ou de secondes (selon l'éclairage).

La transposition de la photo en un objet digital interactif prend à nouveau quelques minutes.

L'habillage et l'enrichissement de cet objet digital que nous nommons une B'360, prend également peu de temps.

Vient le moment de confectionner le site WEB, puis quelques moments plus tard de fabriquer le référencement du site WEB.

A compter de quelques heures après la prise de vue, le client a ainsi un site WEB de nouvelle génération, 100% responsive (c'est à dire compatible smartphone, tablette et ordinateur). Il reste à lui affecter un accès direct par un nom de domaine nouveau comme ancien.

Sur option, quelques jours plus tard, ce site WEB nommé B'360 apparaîtra dans le moteur de recherche jusqu'en première page. Le processus suivi se nomme PVP - B'leader. Un procédé propriétaire à New3S.

Q. OOkawa : Donc B'360 c'est comme un nouveau site WEB, en photo 360° ?

Réponse : C'est tout à fait çà ! Nous avons repris une citation de Confucius "1 image vaut 1000 mots", pour la développer en "1 image interactive vaut 100.000 mots" !

C'est en effet le cas : regarder cette réalisation www.avocat-fiscaliste-75017.com : n'observe-t-on pas avec le doigt comme la souris, qu'à la faveur des toucher/glisser/zoomer tout parait limpide de sens. La preuve par l'image en quelque sorte.

Q. OOkawa : Cette B'360 se substitue à un site traditionnel et peut aussi pointer sur un site WEB classique ? en 2D comme vous dites !

Réponse : Exact. On peut aussi insérer cette B'360 dans un site existant. Nous faisons en effet la différence entre les sites 2D (pour 2 dimensions, donc à plat, sans relief) , des sites à 360° (site B'360), des sites en 3D (à 3 dimensions, façon jeu vidéo). New3S prestataire de service, agence en communication digitale à 360°, est aussi éditeur de site 2D, 360° et 3D.

Q. OOkawa : Le nom choisi pour l'entreprise n'est pas un hasard ?

Réponse : New3S® est un nom à consonance américaine. La racine "New" pour "nouveau" indique, je pense, son état d'esprit. Puis viennent les 3 "S".

Un "S" pour systèmes. Un second "S" pour solutions. Un dernier "S" pour services.

Une nouvelle manière de voir et revoir SA communication à la faveur des nouvelles techniques désormais disponibles. Comme SA manière de se mettre à portée de 3 Milliards de gens, et bientôt 6 Milliards d'humains, comme 20 Milliards d'objets connectés.
​C'est ça le pouvoir du DIGITAL !

Q. OOkawa : Vous laissez entendre le mot "anticipation" tout au long de votre parcours.

Réponse : En effet, comme je dis souvent, les grosses berlines allemandes ont toujours eu des phares puissants. Car lorsqu'on va vite, il faut prévenir le danger et anticiper la route. Avoir une vision est indispensable. Savoir tenir et résister tout autant. Ne pas abandonner au premier coup de grisou, à la première difficulté, ... à la cinquantième non plus ! rires.

J'ai toujours été émerveillé par la prouesse des marins qui font le tour du monde à la voile à la recherche d'un record. Cette capacité qu'ils ont à se recroqueviller contre les vents déchaînés en hissant des mouchoirs de poche en guise de voilure, puis celle de savoir hisser les grands spinnakers pour avaler des miles à n'en plus finir sitôt les vents portants et ainsi d'une manière comme d'une autre faire tomber des records.

Anticiper, c'est apprendre à lire le paysage, et faire preuve d'abnégation pour mieux traverser les difficultés.

Q. OOkawa : "Oser" est un mot qui a du sens pour vous ?

Réponse : "Oser c'est avoir !" . On pourrait ajouter "qui n'ose pas n'inventera pas".

Ainsi Maître BENAISSI est le 1er avocat à présenter son activité de cette manière-ci. Avec de surcroît la combinaison visite intérieure - sortie/repérage extérieur. Chacun appréciera la pertinence de l'outil. Puis viendra après la livraison de ce jour l'obtention de la position Web. Car pour être visité par le virtuel, il faut d'abord être vu sur le Web (un autre aspect de notre métier et savoir-faire). D'ici quelques temps le site Web nouvellement créé obtiendra dans les moteurs de recherche dont Google bien entendu, la position recherchée (parmi les plus visibles) : un autre argument pour la B'360 !